Selon un porte-parole de la société, BlackBerry aurait mis à pied une centaine d’employés travaillant au siège social de la firme canadienne à Waterloo, en Ontario. C’est la deuxième vague de licenciements au sein de la société, BlackBerry avait retranché 250 postes à Waterloo le mois dernier.
L’an dernier, BlackBerry, anciennement Research In Motion (RIM) avait annoncé un plan de restructuration qui prévoyait la suppression d’environ 5000 emplois.
Selon ce porte-parole, la deuxième phase du plan de transformation de BlackBerry prévoit une évaluation en profondeur de toute la société pour s’assurer que les employés en place jouent un rôle conforme à leurs aptitudes.
Le conseil d’administration de BlackBerry explore différentes options stratégiques, y compris une éventuelle vente de la compagnie ou de certains de ses actifs.
À l’assemblée annuelle au début du mois de juillet, le PDG du groupe, Thorsten Heins, avait encore une fois invité les investisseurs à faire preuve de patience alors que la compagnie est au cœur d’une «transition complexe». La société souhaite rester la plus transparente possible tout au long de l’évolution de son plan.